Coûte que coûte

Coûte que coûte

« Coûte que coûte » s'intéresse aux phénomènes de société. Crises économiques, terrorisme, arnaques de certains régimes, coulisses des grandes marques ou encore succès d'entreprises belges à l'étranger, tout est décrypté.

Épisodes

32 épisodes

Le yaourt, c'est un aliment simple et magique. Simple, parce qu'on peut le fabriquer en deux coups de cuillère à pot. Magique, parce qu'il contient des bactéries bénéfiques pour la digestion. Au lait de vache, de brebis, de chèvre, les Belges en consomment en moyenne 120 pots par personne chaque année.La recette date de plus de 4.000 ans. Elle a été inventée en Asie Mineure par des bergers nomades qui transportaient le lait de leur troupeau dans des peaux de bêtes. Au 20ème siècle, le yaourt entre dans l'ère industrielle avec la création de la marque Danone. Il a fait de cet aliment santé, d'abord vendu en pharmacie, un aliment plaisir. L'invention du réfrigérateur et les publicitaires ont fait le reste. Les grandes marques vendent chaque année des milliards de pots à travers le monde.Solides ou liquides, aromatisés ou non, avec ou sans fruits, avec ou sans matières grasses, avec ou sans calories, etc, les recettes ne cessent d'évoluer. Mais tous les pots ne sont pas blancs comme neige. Certains yaourts industriels sont fabriqués avec du lait acheté à prix bradé. Quant aux yaourts fermiers, présentés comme sains et bucoliques, certains proviennent d'élevages où les vaches n'ont jamais vu de prairies.
Chaque jour, les Belges avalent 35.000 pots de pâtes à tartiner, confirmant leur amour inébranlable pour la saveur noisette. Alors que Nutella trône en leader, les versions bio sans huile de palme gagnent du terrain. La Belgique, fière productrice de 11.000 tonnes de noisettes pour ses artisans chocolatiers, se retrouve néanmoins face à une demande toujours croissante. Dans cette course effrénée, l'Italie et la Turquie, les deux principaux producteurs de noisettes en Europe se disputent ardemment le marché. De son côté, Benjamin Maréchal va à la rencontre du premier producteur de noisettes de Belgique et se rend également chez une chocolatière qui nous dit tout sur les pâtes à tartiner 100% naturelles !
L'inflation bouleverse la vie des Belges et modifie leurs habitudes de consommation. En deux ans, le coût du panier mensuel moyen a augmenté d'environ 29%. Une hausse des prix qui pousse les consommateurs à se tourner vers des alternatives. Une très bonne nouvelle pour les discounteurs, et notamment le Leader européen, Lidl, qui a vu son chiffre d'affaires augmenter de 14%, rien que sur l'année 2022. Ces grandes surfaces qui cassent les prix ne cessent de s'expandre. Avec plus de 300 magasins répartis en Belgique, Lidl a pour ambition de devenir le leader belge des prix cassés et a plus d'un tour dans son sac pour y parvenir.Mais quel est le secret du géant du hard discount pour proposer des prix toujours plus bas ? Coûte que coûte s'est intéressé à la folle expansion du groupe et vous donne tous les bons plans.
Près de 2 millions de téléphones sont vendus en Belgique, chaque année. De plus en plus de sociétés vendent des téléphones reconditionnés. Elles affichent sur leur site des téléphones portables aussi bien neufs que reconditionnés, avec des prix 20 à 50 % moins cher. Mais ce marché est une vraie jungle. Pour le même appareil, les prix peuvent varier jusqu'à 150 euros. Le reconditionné ? C'est changer des pièces d'un téléphone usagers, pour qu'il fonctionne parfaitement ! Ces appareils sont-ils fiables ? Quelle différence avec un GSM d'occasion ?? Voici 3 critères à vérifier avant de faire un bon achat : les pièces utilisées, la traçabilité et enfin le prix ! Cette semaine, Coûte que coûte a mené l'enquête pour dénicher le meilleur rapport qualité/prix en Belgique ! Et vous allez le voir, nos découvertes sont plus que surprenantes. Alors arnaque ou bonne affaire ? Cette semaine, Coûte que coûte vous dévoile toutes les astuces pour ne pas se faire avoir en achetant un GSM reconditionné !
C'est la boisson la plus consommée au monde après l'eau. Même si le café reste la boisson préférée des Belges, le thé gagne du terrain et des parts de marché en Belgique. On lui prête de nombreuses vertus, notamment pour notre santé. Et certaines boissons à base de thé, comme les bubble tea, sont même à la mode chez les jeunes. Mais le thé est-il vraiment meilleur pour notre santé que le café ? Fait-il maigrir ou booste-t-il notre taux d'antioxydants ? Et puis surtout, comment acheter du thé de qualité à petit prix ? Réponse dans le magazine Coûte que coûte qui a mené l'enquête dans le monde du thé...
Vous êtes plutôt eau en bouteille ou eau du robinet ? Selon les derniers sondages, les Wallons sont aussi nombreux à préférer l'une que l'autre. Prix, goût, qualité, écologie, chacun a ses raisons mais qui a raison ? L'équipe de Coûte que Coûte a mené l'enquête.D'un côté l'eau de distribution qui avait pourtant si bonne réputation, mais après le scandale des pfas, les consommateurs se méfient. Alors peut-on à nouveau boire au robinet en toute confiance ? Quels sont les filtres efficaces et les arnaques à éviter ?De l'autre côté, les eaux en bouteille, appréciées pour leur pureté et leur goût, mais jusqu'à 100x plus chères que l'eau du robinet. En réalité, elles pourraient être contaminées par des mocro particules de plastique.Les grandes marques investissent des fortunes en marketing pour se démarquer. Mais de nouveaux venus viennent les challenger avec des eaux de luxe, venues des endroits les plus reculés de la planète avec un bilan environnemental désastreux...L'enquête du magazine révèle qu'une même source peut être exploitée par plusieurs marques et plus étonnant encore, que l'eau en bouteille et l'eau de distribution proviennent parfois du même endroit.Eaux en bouteille vs eau du robinet, ne ratez pas le grand match arbitré par Coûte que Coûte.
Après Shein, Aliexpress, ou encore Tiktok, une nouvelle plateforme chinoise part à l'assaut de la planète : TEMU. En à peine 8 mois, le site de e-commerce est devenu l'application la plus téléchargée en Belgique. Il affiche des prix en moyenne 20 à 40% moins cher que ses concurrents directs : Amazon, Aliexpress ou encore Shein. Alors comment font-ils pour afficher des prix aussi bas ? Cette semaine Coûte que coûte a mené l'enquête. Son modèle économique inédit, arrive à casser le marché, parfois au détriment des fabricants. Si bien que certains préfèrent jeter l'éponge. Vous verrez aussi que certains produits pourraient être risqués, mais ce n'est pas tout ! Depuis octobre 2023, TEMU est au coeur d'une étonnante polémique. La plateforme est soupçonnée de collecter les données de ses utilisateurs à leur insu. Alors la plateforme est-elle fiable ? Ce soir Coûte que coûte vous dévoile tous les secrets de TEMU.
L'optique est un secteur qui rapporte. On parle de plus d'un milliard d'euros par an rien qu'en Belgique. Avec une population vieillissante, une consommation d'écrans toujours plus importante et une myopie en hausse chez les enfants, ce n'est pas près de s'arrêter. Nouvel acteur dans ce marché : les enseignes low cost. Elles nous promettent des montures et des verres à tout petits prix. On parle de lunettes avec verres correcteurs à 10 euros, tout compris. Face à de tel prix, il y a de quoi être tenté car, en moyenne, une paire de lunettes nous coûte 400 euros. Une dépense importante quand on sait que plus d'un Belge sur deux aura besoin de lunettes au cours de sa vie. Les enseignes de lunettes pas chères semblent donc être une bonne alternative pour faire des économies. Mais que se cache-t-il derrière ces prix bas ? Ces nouveaux acteurs représentent-ils un danger pour les opticiens de quartier ? Ces lunettes sont-elles fiables ? Risquons-nous de détériorer notre vue en les portant ? Coûte que coûte part à la rencontre des entrepreneurs qui révolutionnent le marché de l'optique.
La Belgique possède une longue tradition de production et de consommation de beurre. Les laiteries belges sont réputées pour leur fabrication de beurres de qualité. Et la demande mondiale pour cet aliment essentiel dans les cuisines est en forte croissance. Dans notre pays, nous en consommons 1,7 kg par an et par habitant. Artisanal ou industriel, doux ou salé, les options sont variées. Mais le beurre est-il vraiment mauvais pour la santé ? Et que penser des alternatives proposées par les producteurs comme la margarine et le beurre allégé ? Cette semaine, l'émission Coûte que Coûte s'intéresse au beurre et à ses dérivés. Composition, mode de cuisson, fabrication, risques pour la santé, nous allons vous révéler tous ses secrets. Vous découvrirez également le beurre du futur, une invention 100% végétale.
A table, l'heure est à la tendance du « fait maison », mais dans les familles, on cherche aussi à se faciliter la vie et à gagner du temps, tout en mangeant sain. C'est tout bénéfice pour les robots de cuisine multifonction que l'on trouve de plus en plus souvent sur nos plans de travail en cuisine. Souvent connectés, multitâches et intuitifs, ces robots ont souvent des prix qui font réfléchir et rebutent la plupart des portefeuilles. Sur ce marché la fourchette moyenne varie de 699 à 1.499 euros, mais depuis quelques années des enseignes comme Lidl, Aldi ou Intermarché sont venus jouer les trouble-fête en proposant des robots multifonction connectés à moins de 400 euros. Alors comment faire son choix?? Le haut de gamme vaut-il réellement la différence?? Peut-on faire confiance aux robots moins chers??
Vous l'aimez rose dans les pâtes ou en dés dans les macaronis ? Mais savez-vous ce qu'il y a dedans ? Faites-vous la différence entre un jambon cuit supérieur et un jambon cuit standard ? Qu'achetez-vous vraiment quand l'étiquette mentionne « épaule » ? Ce soir Coûte que Coûte vous fait découvrir les coulisses d'un produit consommé par un Belge sur deux au moins une fois par semaine : le jambon cuit. En théorie il devrait être gris comme du rôti de porc. Mais pour plaire aux consommateurs on lui donne une nuance rose en lui ajoutant des additifs dont le fameux E250. Parfois mentionné comme « sel de nitrite » ou « nitrate de sodium ». Un additif dont on parle beaucoup car il aurait une incidence sur le cancer colorectal. Alors faut-il faire le choix des jambons « sans nitrites » dont beaucoup de marques développent des versions ? Pourquoi cela coûte-il plus cher ? Est-ce justifié ? Qu'y a-t-il dans le jambon premier prix. C'est ce soir dans Coûte que Coûte. C'est le deuxième produit de charcuterie le plus consommé chez nous après le pâté.
A chaque printemps, la pression augmente sur les réseaux sociaux et sur les couvertures de magazines. Partout les solutions de régimes nous promettent de nous débarrasser de nos kilos superflus et d'affiner notre silhouette avant l'été. Mais que faut-il vraiment penser de tout cela ? Comptage strict des calories, repas hyper protéinés, coach online, médicament dit « miracle », au final quelles sont les méthodes qui fonctionnent vraiment et celles qui sont à éviter absolument ? Coûte que Coûte part à la rencontre d'hommes et de femmes qui se sont laissé tenter par des régimes. S'ils ont perdu du poids au début, pratiquement tous en ont repris par la suite. Et la reprise a souvent été douloureuse, avec un poids parfois bien plus important. Alors comment expliquer cette difficulté à vraiment perdre du poids ? Que faut-il penser des différentes méthodes de régimes ? Et que faut-il vraiment mettre en place pour obtenir son poids de forme ?Benjamin Maréchal et ses équipes sont partis à la rencontre de diététiciens, de patients et de professionnels de la santé pour faire toute la lumière sur les solutions pour perdre du poids.
Pâtes, pizzas, boulettes sauce tomates, carbonnades, poêlée de légumes à la crème, que ce soit en plats à passer au four ou à réchauffer au micro-ondes, nous sommes nombreux à réchauffer de temps en temps un plat préparé. Gain de temps, facilité, envie de passer moins de temps en cuisine et plus avec les enfants : les raisons de ce choix sont nombreuses. Mais faut-il en faire une habitude ? Que penser des additifs utilisés, parfois en grand nombre, par certains industriels de l’agro-alimentaire ? Si les leaders du marché donnent aujourd’hui l’exemple en limitant, voire en éliminant, les additifs dans leurs préparations, tous les plats cuisinés sont loin de se valoir.
Ce mercredi, Coûte que coûte s'intéresse à votre sécurité. On compte plus de 110 cambriolages chaque jour en Belgique, un toutes les dix minutes. La sécurité est une des priorités pour les Belges qui s'équipent de plus en plus. Un sur 5 possède une alarme, plus de 140.000 caméras de surveillance ont été déclarées par des particuliers l'année dernière. Comment faire pour sécuriser son habitation sans dépenser une fortune ? Nous sommes allés voir des installateurs d'alarme, nous avons pu entrer dans une centrale de surveillance à laquelle sont connectées plus de 40.000 alarmes. Nous avons rencontré vitrier et serruriers pour savoir comment protéger au mieux son habitation sans se ruiner.
C'est le fromage le plus vendu au monde. C'est aussi l'un des moins gras et l'un des moins salé : la mozzarella. Mais il y a mozzarella et mozzarella. Ce fromage d'origine italienne se décline en plusieurs versions : burrata, stracciatella, mozzarella di bufala (au lait de bufflone) ou mozzarella au lait de vache. Cette petite boule blanche qui agrémente souvent nos salades ou nos tomates, peut aussi être fabriquée à base de lait cru ou de lait pasteurisé. Etre façonnée à la main ou à échelle industrielle. Et bien sûr toutes ne se valent pas. Leurs prix varient d'ailleurs entre 7 et plus de 20 euros le kilo. Alors à quelle mozzarella se vouer pour notre santé ? Peut-on faire confiance aux mozzarellas trop transformées ? A l'heure où elle revient en force sur nos tables avec le beau temps, Coûte que Coûte vous emmène ce soir dans les coulisses d'un produit qui, surprise, se fabrique aussi chez nous. Avec plus de 66.000 tonnes produites en 2022, plus que la production de Gouda, la Belgique est en effet un des plus gros producteurs de mozzarella. Mais laquelle ?
Pour faire leur toilette, il y a ceux qui sont plutôt savon liquide et les autres qui préfèrent utiliser un pain de savon solide. Un marché qui représente 20 millions d’euros par an en Belgique et qui augmente doucement un peu plus chaque année. Mais l’immense majorité des savons qu’on retrouve dans nos salles de bain contiennent des matières premières venues du bout du monde, à la réputation pas toujours très positive. Alors entre savon à froid, savon de Marseille, savon surgras ou savon classique comment s’y retrouver ? Qu’est-ce qui justifie les écarts de prix : entre moins de 2 euros le savon en grande surface et près de 20 euros pour du haut de gamme de luxe ? Derrière le marketing, qu’y a-t-il vraiment dans nos savons ? Sont-ils bons pour notre santé ? Que vaut-il mieux utiliser si on veut économiser ?
Frigo, machine à laver, lave-vaisselle, quand il faut changer d’électroménager, l’addition peut être salée. D’autant plus que là aussi l’inflation a laissé des traces. Alors peut-on trouver une parade pour payer moins cher ? Depuis une trentaine d’année, l’enseigne IHPO déstocke des lots d’appareils de grandes marques : fins de série ou seconds choix, sans emballage, parfois griffés, mais toujours neufs, avec garantie d’usine. La société s’étend aujourd’hui en Wallonie. Mais la seconde main a aussi le vent en poupe. Les appareils récoltés par Recupel et remis en état dans un centre agréé, bénéficient d’une garantie d’un an et sont revendus en moyenne au tiers du prix neuf, de quoi faire des économies tout en faisant un geste pour la planète. L’idée a conquis plusieurs enseignes commerciales qui se sont mises également à proposer du gros électro reconditionné. Comme un célèbre discounter français désormais implanté avec une quinzaine de magasins en Belgique : Electro Dépôt. Dans ses magasins on trouve aussi du neuf à prix cassé. Comment cette société y parvient-elle ? Quel est son secret pour réduire les coûts au maximum ?
Depuis la crise sanitaire de la Covid 19, le ménage à pris une toute nouvelle dimension et les produits nettoyants sont devenus un enjeu de taille pour les firmes qui les produisent. Pour nettoyer et astiquer du sol au plafond, les grandes surfaces débordent de produits. S'y sont rajoutés, en masse, les antibactériens et les virucides, mais sont-ils garants d'un intérieur plus propre et plus sains ?Vous allez voir que nettoyer est un art et que les modes d'emplois regorgent d'informations précieuses ! Mais quels sont les pièges à éviter quand on veut prendre soin de son foyer ? Face à la multiplication des produits nettoyants et désinfectants sur le marché, certains tentent de se démarquer grâce à des labels qui garantissent l'aspect écologique ou naturel des produits. Mais comment les distinguer ? D'autres encore ont repris les vieilles recettes de grand-mère pour les mettre au goût du jour et attirer une clientèle en recherche de produits plus authentiques. D'autres prennent le pari de développer des produits ménager design qui s'exposent comme des éléments de décoration dans nos salles de bain et nos cuisines.Faire le ménage serait-il devenu tendance ?Dans cette jungle des produits ménagers, comment faire son choix ? Coûte que coûte a mené l'enquête.
En Belgique, on compte plus de 2 millions de chats. Un ménage sur 3 possède un chat. C'est donc un marché énorme en constante augmentation.Mais un chat, combien ça coûte ?D'un concours international du plus beau chat à un hôtel de luxe pour petits compagnons, nous verrons combien peut coûter le meilleur ami de la famille.Nous irons dans un magasin pour chats pour voir ce qui se vend le plus. Des vétérinaires nous expliqueront pourquoi les soins pour animaux coûtent si cher. Nous verrons également quel est ce nouveau métier en pleine expansion : « cat-sitter », ou encore ce qu'est un comportementaliste, une sorte de psychologue pour chats.Plus de 3 milliards d'euros sont dépensés chaque année par les Belges pour leurs animaux de compagnies.Une chose est sure : le business des chats a encore de beaux jours devant lui...
Dans le monde de la santé, l'hypnose est un outil de plus en plus reconnu et utilisé. Dans les hôpitaux, par exemple, pour des anesthésies, le traitement de douleurs chroniques ou des soins infirmiers. Les psychologues et les psychiatres l'utilisent pour le traitement de phobies, de crises d'angoisse ou des troubles anxieux. De plus en plus de personnes sont donc attirées et séduites par cette pratique... mais que faut-il en penser ? Quelles sont les techniques utilisées, que dit la science, comment ne pas confondre l'hypnose de spectacle, popularisée par Messmer et la nouvelle hypnose médicale ? Quels sont les vrais bénéfices et les risques de cet outil et comment ne pas se faire arnaquer ? Aujourd'hui, tout le monde peut apprendre à devenir hypnotiseur. Sur internet, les vidéos ou les offres de formation pullulent : de quelques heures à quelques jours, de quelques centaines d'euros à plusieurs milliers. Mais il n'existe pas de diplôme officiel. Du coup, à côté des anesthésistes, médecins généralistes ou spécialistes, psychologues, sage-femmes, kinésithérapeutes ou infirmières, de plus en plus de personnes se proclament hypnothérapeutes ou praticiens en hypnose sans avoir de connaissance médicale au départ. Et ce n'est pas sans danger.
Avec 482 magasins à travers le monde dont 8 en Belgique, Ikea est devenue l'une des enseignes préférées des Belges. La marque est devenue le leader mondial sur le marché de l'ameublement et de la décoration intérieure. Parmi les différents points de vente aux quatre coins du globe, ils ont tous un point commun : le même parcours fléché, mis au point dans les années 70. En 2022, près de 12 millions de clients belges sont venus se perdre dans ce labyrinthe de 10.000 références aux noms imprononçables. Et 1 Européen sur 10 aurait même été conçu dans un lit Ikea. Comment l'enseigne, qui fête cette année ses 80 ans, fait-elle pour maintenir une telle popularité ? Comment est organisée cette marque qui réalise chaque année plus de 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires ? Comment conçoit-elle ses modèles ? Pour le savoir, nous avons suivi le quotidien d'un grand magasin, de la réception des meubles au petit matin, jusqu'à la création des ambiances. Pour percer ses secrets, nous avons eu l'autorisation exceptionnelle de pénétrer le siège du groupe à Almult en Suède, là où sont conçus les nouveaux modèles. Une plongée au coeur de l'empire suédois !
Avec le succès des télécrochets comme « The Voice » ou « La Nouvelle Star », beaucoup de jeunes rêvent aujourd'hui de devenir chanteurs. De plus en plus d'écoles de chant proposent de les aider à réaliser leur rêve, même si le prix à payer est parfois élevé. Mais tout le monde ne rêve pas de vivre de la musique, de nombreux amateurs prennent aussi des cours de chant juste pour le plaisir. Parce que chanter, ça fait du bien, c'est bon pour la santé et le moral.Dans Coûte que coûte, nous irons dans les coulisses de l'AICOM, prestigieuse école de comédie musicale. Nous suivrons le parcours d'Héloïse, alias Helora Rose, qui essaie de percer dans la musique. Nous verrons que les Académies proposent des prix défiant toute concurrence, mais qu'elles sont victimes de leur succès. Nous assisterons à la répétition d'une chorale où on apprend le plaisir de chanter en groupe... Dans Coûte que coûte, nous explorons ce business très florissant des cours de chant.
60 millions de Barbie vendues en 2022. Et l'année 2023 s'annonce encore meilleure !Le film Barbie, c'est la démesure. 145 millions pour la production du film et 150 millions pour sa promotion. Il a couté pas loin de 300 millions de dollars et rien ne semble arrêter le phénomène. Chez nous, un Belge sur dix est allé voir le nouveau film Barbie.Ce soir, l'émission se penche sur les conséquences de ce phénomène. Le film a-t-il eu un impact sur les entrées dans les salles de cinéma du pays ? Est-ce qu'il y aura encore assez de Barbie dans nos rayons pour la Saint-Nicolas et les fêtes de fin d'année ? Nous testons également la poupée Steffi Love qui ressemble à s'y méprendre à une Barbie.Enfin, une conséquence plus inattendue, il y a les fans qui veulent acheter une Barbie et y a les fans qui veulent lui ressembler le plus possible. Nous avons retrouvé Rachel Evans, cette anglaise qui a dépensé 44.000 euros pour ressembler à la poupée.
Pendant longtemps le fameux steak haché pur boeuf coincé entre deux tranches de pain a été l'apanage des fast food et de la junk food. Vite fait, parfois mal fait, gras, sucré, calorique, standardisé, sa qualité principale était son prix.Tout a changé aujourd'hui. Son prix d'abord entre 10 et 15 euros la pièce dans les brasseries et restaurants, sa composition ensuite : il est fabriqué à base de produits frais et peut être agrémenté de multiples ingrédients : légumes, fruits, épices. Il peut aussi être assaisonné de sauces improbables ou accompagné de buns aux recettes toujours plus inventives. Bref, le hamburger est de moins en moins américain, de plus en plus local.Mais attention. Les propositions ne sont pas toutes exemptes de critiques. Rien de plus facile que de lancer un restaurant de hamburger à prix modique sans le moindre talent. L'équipe de Coûte que Coûte s'est glissée dans les cuisines de plusieurs enseignes de burger pour mener l'enquête.
Le pain est un aliment de base en Belgique. Il est de plus en plus cher, mais il est aussi de plus en plus consommé. Le prix d'un pain blanc de 500g peut aller de 1€ jusqu'à environ 4€. Qu'est-ce qui explique cette différence de prix ? Pourquoi les prix augmentent ? C'est ce que nous avons voulu savoir dans Coûte que coûte.Nous sommes allés à la rencontre des artisans boulangers comme des industriels. Nous avons remonté la filière pour savoir si le pain des supermarchés est acheminé surgelé de Pologne pour baisser les prix au maximum. Nous sommes allés voir un agriculteur qui produit du blé en Belgique et l'un des derniers moulins qui moud le grain comme il y a 200 ans.
Parmi les savoir-faire gastronomiques reconnus en Belgique, la bière et le brassage se retrouvent à côté du chocolat et des frites ! Chaque Belge a, d'ailleurs, sans doute déjà bu des bières ou encore mangé des fromages d'abbaye. Sur leurs étiquettes, des images liées à la religion avec des abbayes ou encore l'image d'un moine. Derrière ces étiquettes, il y a souvent une histoire et beaucoup de marketing. Par produits d'abbayes, on entend évidemment produits trappistes. Ils font partie de notre patrimoine belge. Mais que garantit ce label ?Ces produits sont d'ailleurs souvent plus chers que les traditionnels. Certaines marques brouillent les pistes, faisant passer des produits industriels pour des produits artisanaux. Mais valent-ils pour autant leur prix ? Que reste-t-il de monastique dans ces produits ? Que se cache-t-il derrière ces étiquettes ? Coup de marketing ou véritable authenticité ?Coûte que Coûte a enquêté sur la question !
Nous y serons tous confronté un jour et souvent on ne s'y attend pas, mais les enterrements et crémations représente un budget très important. Coûte que Coûte décortique le prix des funérailles et vous propose de découvrir des alternatives moins chères.Avec en moyenne 110.000 décès par an en Belgique, le marché des pompes funèbres se porte plutôt bien. Le magazine se penche sur un secteur où les tarifs sont souvent opaques et où, dans un moment de détresse et de douleur, les familles ne sont pas en état de comparer les prix. Souvent sous-estimés, les prix varient selon les prestataires, les services choisis, les taxes communales, le type de pierre tombale ou de monument. Il faut pourtant compter aujourd'hui de 5.000 à 6.000 euros pour un enterrement, sans pierre tombale, ni concession, ni réception. De plus en plus de famille ont donc du mal à offrir à leurs proches l'enterrement qu'elles souhaiteraient.Mais quelles sont les dépenses vraiment incontournables ? Sur quels postes peut-on jouer pour diminuer le budget ? Qu'est ce qui fait que les prix varient parfois du simple au triple, voire plus, selon la commune où a lieu le décès et l'inhumation ou l'incinération ? Est-il toujours plus cher d'opter pour la crémation ? Benjamin Maréchal vous donne des conseils et des pistes pour limiter les factures tout en planifiant un « au revoir » en toute dignité.
Suite aux crises successives que nous avons vécues, les questions d'argent sont plus que jamais au coeur des préoccupations des Belges. Benjamin et toute l'équipe de « Coûte que Coûte » vous proposent de s'intéresser à ces questions épineuses relatives à notre quotidien.
Dénicher la perle rare sur l'étal d'une brocante, trouver la pépite vintage dans un vide grenier, c'est le rêve des chasseurs de trésors qui arpentent chaque week-end les marchés aux puces et autres antiquaires. Mais peut-être qu'au fond de vos tiroirs ou dans une caisse rangée dans votre garage dorment des objets dont vous avez oublié l'existence et qui pourtant pourraient rapporter gros. Car ce qui cartonne aujourd'hui dans les brocantes n'est pas forcément ce qui se vendait cher hier. Dans cet univers là aussi il existe des modes et des tendances. Un exemple ? Les cocottes Le Creuset. Il y a quelques temps encore, Pierre-François Garcier en trouvait facilement à moins de 30 euros. Aujourd'hui elles se vendent souvent 5 fois plus cher en seconde main. Autre exemple : les cartes Pokémon. Certaines collections atteignent aujourd'hui des sommets. Si vous avez grandi en collectionnant ces cartes qui ont fait fureur dans les cours de récré, vérifiez vos fonds de tiroir. Peut-être y trouverez-vous un Pikachu de grande valeur ? On vous dit comment le vérifier.Ce soir Coûte Que Coûte fouille dans vos greniers pour vous aider à en découvrir les trésors cachés.
Revivez la construction de la tour Eiffel avec son créateur, l'entrepreneur et ingénieur français Gustave Eiffel, loger et déjeuner dans un hôtel aux décors de station spatiale à des années lumières de la Terre... Les expériences immersives se multiplient partout, plus renversantes les unes que les autres dans les musées et expositions, ou dans les parcs d'attractions.C'est la nouvelle tendance en matière d'expériences culturelles. Aujourd'hui, chaque exposition se doit d'être immersive pour plaire au public. La réalité virtuelle, les jeux vidéo et l'interaction sont au coeur d'une nouvelle manière de consommer l'art, centrée sur le visiteur. Munis ou non d'un casque de réalité virtuelle, ils ne sont plus seulement spectateurs, mais deviennent désormais aussi acteurs. L'expérience s'étend également dans les parcs d'attractions qui reproduisent des sensations plus vraies que nature.Des entrepreneurs ont tout misé sur ce marché en plein essor, estimé à plus de dix milliards d'euros dans le monde. Comment sont conçues ces nouvelles activités qui vous plongent au coeur de l'action ? Qui sont les entrepreneurs qui parient sur ce marché ? Et surtout, combien de bénéfices peuvent-ils en tirer ? Coûte que Coûte enquête sur ce nouvel eldorado du tourisme !
Se parfumer n'a jamais été coûté aussi cher. Comme tout le reste, le prix de vos flacons préférés s'est envolé en magasin : plus 25 à 30% en trois ans.Mais depuis quelques années, de nouvelles enseignes, de nouvelles marques cherchent à séduire les consommateurs en quête de bons plans. Et Il est aujourd'hui possible de trouver des parfums à tous les prix, et même à moins d'1 euros chez un discounter bien connu. Zara, Action, Di ou encore Lidl proposent des senteurs qui sont parfois très similaires à de grands parfums dans leurs ingrédients et leurs notes olfactives. Certaines enseignes comme Equivalenza ou Alternatives parfum en ont fait leur modèle économique. Elles proposent plusieurs centaines de « jus » qui - sans le dire - sont en fait des déclinaisons low cost de produits de grandes marques. Il ne s'agit pas à proprement parler de contrefaçons puisque ces produits ne cherchent pas à vous tromper : le packaging, le flacon, le nom sont clairement différents de l'original. C'est ce qu'on appelle des « dupes » de parfum. Des fragrances qui olfactivement se rapprochent parfois étonnamment de produits bien plus coûteux. Sauf que leurs prix sont étonnamment bas. En général, ils ne coûtent que quelques euros. Mais à ce prix-là, ces fragrances valent-t-elle vraiment le coup ? Parfums chics contre prix chocs, Coûte Que coûte vous propose ce soir de découvrir le business surprenant des nouveaux rois du parfum low cost.
Christophe Michalak, Hélène Darroze, chaque Noël, Picard s'offre les services d'un grand pâtissier pour sa bûche star. Selon nos informations, l'enseigne les paie entre 10.000 et 50.000 euros, en fonction de leur notoriété, plus un pourcentage sur les ventes. La période des fêtes est stratégique : 70 nouveautés pour épater les convives. Dans les usines, les fournisseurs mettent les bouchées doubles pour que les pères Noël de l'enseigne, avec leur barbe blanchie par le froid, livrent à temps les magasins. Coûte que coûte mène l'enquête et vous dira si il est possible de faire votre prochain menu de fêtes avec du 100% surgelé !
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